Publié dans Culture

Palais de Tokyo à Paris - Malala Andrialavidrazana invitée à l’espace Grande Verrière

Publié le mardi, 16 juillet 2024
Les labeurs de l’artiste occupera l’espace Grande Verrière de Paris Les labeurs de l’artiste occupera l’espace Grande Verrière de Paris

Le talent d’une artiste malagasy est exposé dans l’un des endroits reconnus à l’Hexagone. Malala Andrialavidrazana sera l'invitée de la saison d’hiver du Palais de Tokyo cette année. Au sein de cette importante institution dédiée à l'art contemporain, Malala Andrialavidrazana occupera l'espace Grande Verrière, soit un mur incurvé de plus de 60 mètres de long sur 6 mètres de hauteur où elle pourra déployer ses « Figures ». Cette exposition constitue à la fois une exposition monographique et une façon d’envisager une rétrospective de la série des « Figures » qui a débuté en 2015.
« Les Figures », œuvre monumentale de cette artiste contemporaine, occupera ainsi l’espace Grande Verrière au Palais de Tokyo, situé dans la capitale française, du 17 octobre 2024 au 5 janvier 2025. Il s’agit d’un espace d'exposition unique en son genre, situé au cœur de ce lieu emblématique de l'art contemporain à Paris. Cette verrière, d'une hauteur impressionnante, permet à la lumière naturelle de baigner l'ensemble de l'espace, créant une atmosphère à la fois lumineuse et apaisante pour les visiteurs. Cet espace d'exposition accueille régulièrement des installations artistiques grandioses, des performances théâtrales et des conférences, ainsi que des expositions temporaires qui mettent en avant des artistes émergents et reconnus dans le monde de l'art contemporain. Les œuvres présentées dans la Grande Verrière sont souvent spectaculaires et audacieuses, s'inscrivant parfaitement dans l'esthétique avant-gardiste du Palais de Tokyo.
Malala Andrialavidrazana, une artiste visuelle et photographe, est née en 1971 à Antananarivo. Elle a étudié les arts visuels à l'Ecole nationale supérieure des arts décoratifs de Paris et a obtenu son diplôme en 1994. Son travail explore les thèmes de l'identité, de la mémoire collective et de la représentation de l'Afrique. Elle utilise la photographie, le collage, la vidéo et l'installation pour interroger les différentes dimensions de l'histoire et de la culture africaines. Malala a déjà inscrit son nom dans de nombreuses institutions et galeries à travers le monde, notamment au Centre Pompidou à Paris, à la Biennale de Dakar au Sénégal, et à la galerie Goodman située à Johannesburg, (Afrique du Sud). Elle a également remporté plusieurs prix et bourses pour son travail artistique. Notons que cette exposition a pu être réalisé grâce à un accord de partenariat signé entre Guillaume Désange, président du Palais de Tokyo et Hasnaine Yavarhoussen, fondateur du Fonds Yavarhoussen.
Si.R

Fil infos

  • Concertation nationale - LES RECOMMANDATIONS D’UN CITOYEN D’AMBATONDRAZAKA
  • Détention de Rinah Rakotomanga - Son avocate dénonce des dessous politiques
  • Actu-brèves
  • Loi de finances - Nouveau huis clos des députés
  • Monastère de Mahitsy - Au cœur du silence bénédictin
  • Employés du Groupe Sodiat - « Laissez-nous travailler ! »
  • Immunité - La société civile dénonce la protection accordée aux inspecteurs des impôts et des douanes
  • Nominations de préfets et de chefs de Districts - Le Syndicat des administrateurs civils répond à la polémique
  • Groupe Sodiat - 4000 employés et familles étranglés
  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Traque aveugle (II) ?
    Nous revenons à la charge. Au risque d’être taxé d’entêté, il nous est impossible de ne pas revenir sur le thème précédent (« Traque aveugle » du 14 /11 /25) afin d’interpeller vivement ce que nous appelions, au final, de traque aveugle à l’encontre des entités de productions appartenant à des nationaux et laisser, non-inquiétés, certains ressortissants étrangers souvent naturalisés malagasy aux pratiques douteuses. Des voix commencent à s’élever et finissent par remonter en surface. Ces voix discordantes inondent la toile et dénoncent : « pourquoi s’acharne-t-on sur certains rares Gasy, capitaines d’industrie, en laissant « en paix » les … autres ! Suivez mes yeux ! Lors de la première édition de la « Traque aveugle » du 14 novembre 2025, on était amené à capter l’attention du public sur certaines opérations militaires, des fois, musclées qui sont en fait, de source avisée, des perquisitions officielles. On différencie difficilement…

A bout portant

AutoDiff